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Et jaunevertgris!
J'ai eu envie, c'était ce matin, d'essayer de poser quelques mots sur quelques symptômes étranges déclenchés à la lecture du Rivage des Syrtes. Ca n'allait pas être évident. J'essaie! En...
Lire la critiqueil y a 10 ans
👉 17 juin : Mise à jour de notre journal de bord (qui devient hebdo)
Le bilan de la nouvelle version du site est accessible ici.
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J'ai eu envie, c'était ce matin, d'essayer de poser quelques mots sur quelques symptômes étranges déclenchés à la lecture du Rivage des Syrtes. Ca n'allait pas être évident. J'essaie! En...
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Orsenna est la capitale d'un état fictif qui correspondrait à notre Italie, tant par sa géographie que par sa culture. La Cité est en guerre depuis plus de trois cents ans avec le Farghestan qui se...
Lire la critiqueil y a 10 ans
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Où l'on relève le niveau. Où l'on fait carrément dans le prestige, même. Et le couillu classieux : pensez donc, un Goncourt refusé ! Mais où l'on ne s'éloigne pas tant que ça de mes préoccupations...
Lire la critiqueil y a 11 ans
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Comment, dans le cerveau d'un tranquille professeur de géographie angevin, peut germer une œuvre aussi intrigante ? Disons-le tout de suite, l'écriture de Gracq est aussi limpide que la parole de...
Lire la critiqueil y a 11 ans
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Avec Le Rivage des Syrtes Julien Gracq reçoit le prix Goncourt qu'il refuse. Dans celui-ci, Aldo un jeune héritié de la très veille seigneurie d'Orsenna, obtient un poste d'observateur dans un...
Lire la critiqueil y a 5 ans
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Sur mon blog : http://charybde2.wordpress.com/2016/05/27/note-de-lecture-le-rivage-des-syrtes-julien-gracq/
Lire la critiqueil y a 6 ans
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Le coup de force de Gracq tient au fait qu'il brouille géographie et temps : Orsenna, le pays qu'il décrit, est partout et nulle part, étrangement actuel et infiniment antique en même temps. Gracq...
Lire la critiqueil y a 8 ans
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J'emprunte mon titre au beau récit autobiographique d'Ernest Psichari sur l'Afrique centrale, tant il convient parfaitement pour qualifier les étendues marécageuses, désertiques et endormies décrites...
Lire la critiqueil y a plus d’un an
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Qu'il est difficile de critiquer un livre comme celui-ci, tant il semble que son ampleur me dépasse. "Ampleur" n'est peut-être pas le bon terme. "Profondeur" encore moins. C'est chez Gracq une sorte...
Lire la critiqueil y a 3 ans
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Ca fait longtemps qu'un de mes profs de littérature m'avait parlé de ce livre comme d'une métaphore sur la guerre... mais j'avais oublié quel métaphore et j'avais oublié ce qu'il racontait. Loué à...
Lire la critiqueil y a 2 ans