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La farce cachée de la Moldavie
Pas certain que l'office de tourisme local soit d'accord avec cette assertion mais les livres de Vladimir Lortchenkov contribuent pourtant à faire découvrir la méconnue Moldavie. De là à en donner...
le 17 déc. 2016
Trop de nawak tue le nawak !
Vladimir Lortchenkov est un grand adepte de l'absurde. Avec ses précédents romans traduits en français, il nous avait habitué à son côté loufoque et déjanté mais là, on monte encore d'un cran !
Avec "Le Dernier amour du lieutenant Petrescu", Lortchenkov emmène ses lecteurs très loin dans un univers déjanté où logique et bon sens n'ont plus aucune place. Dans son monde littéraire, les Moldaves sont complètement à côté de la plaque, ont des réactions totalement absurdes et se mettent tout seuls dans des situations abracadabrantesques. Ouvrir un roman de Vladimir Lortchenkov, c'est passé dans un monde parallèle. L'absurde atteint des sommets !
Mais, à force, ne serait-ce pas un peu too much ? Cette question n'a pas cessé de me hanter en lisant ce roman-ci. Décrochant pas mal de ma lecture en cours et sautant parfois quelques lignes, voire quelques paragraphes entiers, j'ai senti la lassitude m'envahir. Pourquoi ? ...
Lire l'intégralité de la critique sur le blog : http://cafardsathome.canalblog.com/archives/2017/01/14/34802394.html
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le 14 janv. 2017
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Une farce débridée et poétique de la mélancolie tchékiste et de la paranoïa marchandisée.
Sur mon blog : https://charybde2.wordpress.com/2016/10/27/note-de-lecture-le-dernier-amour-du-lieutenant-petrescu-vladimir-lortchenkov/
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