En exergue de Les Mouches bleues, Jean-Michel Riou indique que 41 % de la population américaine ignorent ce qu’il s’est produit à Auschwitz et que ce chiffre grimpe à 66 % chez les 18-34 ans. Si on peut imaginer que les pourcentages ne sont pas aussi élevés en France – espérons-le, en tout cas ! –, il est indéniable que les romans traitant de l’Holocauste sont d’utilités publiques, afin que jamais nous n’oublions les atrocités qui ont été perpétuées envers la communauté juive pendant la Seconde Guerre mondiale. Pour cette raison, Les Mouches bleues est un roman qu’il faut faire lire aux plus jeunes.
Critique complète : http://litteratureetculture.com/jean-michel-riou-les-mouches-bleues-critique.html