Fiche technique

Titre original : Nomads of Gor

Auteur :

John Norman
Genre : RomanDate de publication (pays d'origine) : Langue d'origine : AnglaisParution France : 1969

Éditeur :

J'ai Lu
ISBN : 9782290353509

Groupe :

Gor

Résumé : Toutes les Cités de Gor craignent les Peuples des Chariots. farouches guerriers, nomades intrépides, ils méprisent les villes et leurs castes. L'honneur est leur guide, le combat leur passion, le pillage leur mode de vie. C'est à ces rudes nomades que les Prêtres-Rois ont jadis confié en secret leur dernier oeuf, l'espoir de tout un monde. Tarl Cabot, que ces êtres millénaires ont choisi pour agent, est à présent chargé de s'infiltrer dans les rangs des nomades afin de récupérer cette précieuse essence vitale. Le guerrier de Ko-ro-ba saura-t-il se faire accepter des Peuples des Chariots ? Il le faut, car si les nomades comprennent la véritable nature de ce qu'ils possèdent, Gor est perdueExtrait du livre:Extrait :Au cours des mois écoulés, j'avais voyagé à pied et traversé l'équateur, vivant de la chasse et, à l'occasion, prenant du service dans une caravane de marchands allant d'un hémisphère à l'autre. J'avais quitté le voisinage des Monts Sardar au mois de Sen'Var, qui est un mois d'hiver dans l'hémisphère nord, et cela faisait plusieurs mois que j'avançais vers le sud. J'étais maintenant arrivé, à l'automne de cet hémisphère, dans ce que certains appellent les Plaines de Turia et d'autres la Terre des Peuples des Chariots ; il semble qu'en fonction de l'équilibre de la masse des continents et de celle des eaux sur Gor, il n'y ait que des variations d'ordre modéré entre les saisons, que ce soit au nord ou au sud. En d'autres termes, chaque saison se ressemble. Dans le silence, je restai quelques minutes à observer les animaux et les humains qui se hâtaient en direction de Turia, invisible derrière l'horizon brunâtre. J'avais du mal à comprendre leur terreur. Au-dessus de moi, un cerf-volant goréen sauvage, tout en lançant un cri aigu, s'éloignait, solitaire, de la région, qui ne paraissait pourtant pas différente de bien