Fiche technique

Auteur :

Rachel Corenblit
Date de publication (pays d'origine) : Parution France : octobre 2008

Éditeur :

Éditions du Rouergue
ISBN : 9782841569656, 9782841569656

Résumé : Attention a Lili !C'est la terreur de la cour de récré. Il ne faut surtout pas lui dire un mot de travers. Ou raconter qu'elle est amoureuse Parce qu'elle tape fort et fait pleurer même les durs ! Il n'y a qu'avec son grand-père qu'elle se calme. Il lui explique la politique. C'est des histoires de bagarre, aussi, la politique. Comme cette d'histoire d'Aslan, le nouveau de la classe, qu'on veut renvoyer dans son pays. Ça, c'est une bonne raison pour se bagarrer !Auteur :Rachel Corenblit est née à Chicoutimi, au Québec, en 1969. Elle a vécu à Jérusalem, Nice, Albi, Paris, Marseille et d'autres petits coins encore. Aujourd'hui, elle s'est établie à Toulouse avec son mari et ses deux enfants. Après une formation universitaire en philosophie, elle enchaîne les petits boulots, animatrice, documentaliste vacataire dans une médiathèque, avant de s'orienter vers l'enseignement. Professeur des écoles depuis 1997, elle est aujourd'hui maître formatrice à l'I.U.F.M. de Toulouse. Rachel Corenblit a publié aux Éditions du Rouergue Shalom salam maintenant, très remarqué (doAdo Monde 2007), l'Amour vache (doAdo, janvier 2008) et Dix-huit baisers, plus un (doAdo, mai 2008).Illustratrice :Née en 1982, en Normandie, Julia Wauters a commencé par étudier l'impression textile et la sérigraphie à l'école Duperré, à Paris. Elle se tourne ensuite vers l'illustration, tout en poursuivant ses recherches en sérigraphie et intègre les arts décoratifs de Strasbourg. Elle y crée, en 2005 et avec onze autres élèves de l'école, le collectif Troglodyte et le fanzine trimestriel d'illustration et de bande dessinée Ecarquillette. Elle signe, avec Lili la bagarre, son premier ouvrage pour l'édition jeunesse.Extrait du livre :À l'école, c'est moi qui les bats tous. Tous. C'est moi la plus forte et c'est moi qui les massacre, qui les explose, qui les écrabouille. Ils le savent. Ils m'évitent. Y en a plus un qui ose venir me voir. Plus un qui se ramène pour me dire : hé, Lili, à la récré, t'es morte !Par