Histoire de filiation dégueulasse, gimmicks narratifs, twist-vertige : ce qui est devenu le maniérisme de Palahniuk était à ce moment-là la découverte de son territoire. C'est intime et violent, drôle et déglingué. J'en garde des images comme ces cartes postales lancées du haut de la Sears Tower.
LHommeQui
10
Écrit par

Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à sa liste

Créée

le 18 juin 2010

Critique lue 443 fois

2 j'aime

LHommeQui

Écrit par

Critique lue 443 fois

2

D'autres avis sur Monstres invisibles

Monstres invisibles
Sword_
4

Critique de Monstres invisibles par Sword_

Difficile de noter un livre à la fois aussi bon et aussi mauvais. Bon parce qu'il pose une réflexion de fond sur la beauté et la transformation physique qui est tout à fait inédite et pertinente. Le...

le 20 janv. 2013

2 j'aime

Monstres invisibles
kloh
10

Critique de Monstres invisibles par kloh

Premier ouvrage de Chuck Palahniuk, il avait été refusé par les éditeurs jusqu'à ce que son deuxième texte, Fight Club, soit adapté au cinéma par David Fincher et qu'il rencontre enfin le succès...

Par

le 19 janv. 2012

2 j'aime

Monstres invisibles
LHommeQui
10

Critique de Monstres invisibles par LHommeQui

Histoire de filiation dégueulasse, gimmicks narratifs, twist-vertige : ce qui est devenu le maniérisme de Palahniuk était à ce moment-là la découverte de son territoire. C'est intime et violent,...

le 18 juin 2010

2 j'aime

Du même critique

Worms Armageddon
LHommeQui
10

Critique de Worms Armageddon par LHommeQui

Pour m'avoir fait comprendre qu'une amitié ne vaut pas grand-chose face à la perspective d'une banana bomb au fond d'un tunnel.

le 18 juin 2010

14 j'aime

Speed Racer
LHommeQui
9

Critique de Speed Racer par LHommeQui

Quand on aime ce film, on est toujours obligé d'expliquer pourquoi car on fait face à un froncement de sourcils de l'interlocuteur. C'est simple : copulation d'intelligence narrative et d'inventivité...

le 18 juin 2010

14 j'aime