Quatre nouvelles, forcément bien troussées, du petit père King décidément increvable. On espère que sa prostate est solide, vu la quantité de mots qu'il pisse annuellement.
La première histoire est bonne, la seconde très bonne, la troisième trop facile mais bonne -du King dans le texte. Enfin, la quatrième est trop prévisible, mais reste tout de même plaisante.
Un recueil tout à fait honorable, mais pas vraiment indispensable. King radote un tantinet et n'explore aucune nouvelle contrée. C'est quand même d'une très grande qualité narrative et beaucoup d'auteurs tueraient juste pour concevoir certains paragraphes. Le King du pulp conserve son titre, sans trop forcer cela dit.