Patricia est le prénom d’une femme occidentale à qui s’adresse le narrateur dans le première partie de ce roman. Jean Iritimbi se confesse et prend le temps d’expliquer tout son plan pour enfin quitter son pays. Il éclaire les zones d’ombres et le drame qui l’a saisi. La peur fut telle qu’elle a détruit tout son stratagème. Cette parole suivie ensuite par celle de Patricia livre tous les compromis et les espoirs d’un être. Au fond de cet homme et de cette femme, il y a un espoir d’un futur qui pour exister doit être protégé. Il ne faut surtout pas voir la réalité mais essayer de s’arranger avec, de la contourner. C’est donc ce zigzag sentimental que nous ressentons en entendant les voix de ces deux êtres...


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Graffiti
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le 12 juil. 2019

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