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Spirales
Présenté comme un thriller psychologique, Spirales de Tatiana de Rosnay emprunte beaucoup aux codes hitchochiens.. Une comparaison malheureuse pour un roman à l’histoire souvent convenue et aux...
le 18 avr. 2019
Hélène et le garçon.
L'auteure s'est déjà montrée bien plus inspirée dans son approche de l'obsession, son thème fétiche. Autant Pascaline et Colombe, respectivement héroïnes de La mémoire des murs et du Voisin, étaient des personnages auxquels il était facile de s'identifier, autant Hélène n'inspire aucune empathie tant elle est dénuée de caractère. On retrouve chez elle un petit côté Bree Van de Kamp, la complexité et l'intelligence en moins. Ses introspections répétées sont redondantes à force et son instinct de survie ressort de manière bien timide.
Quelques idées efficaces qui ne sont pas sans rappeler les cinémas de Hitchcock ou de De Palma, notamment l'utilisation habile de motifs comme le déguisement et le cauchemar. C'est toujours cela de pris dans un récit qui, malgré un dénouement bien amené, cherche tout de même à nous faire avaler des couleuvres, entre les flics pas fute fute et la yougoslave over the top.
Quelques idées efficaces qui ne sont pas sans rappeler les cinémas de Hitchcock ou de De Palma, notamment l'utilisation habile de motifs comme le déguisement et le cauchemar. C'est toujours cela de pris dans un récit qui, malgré un dénouement bien amené, cherche tout de même à nous faire avaler des couleuvres, entre les flics pas fute fute et la yougoslave over the top.
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le 29 mai 2013
Modifiée
le 29 mai 2013
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