Sucre noir

Le deuxième livre de Miguel Bonnefoy, après un Voyage d’Octavio déjà très remarqué, confirme la singularité d’un jeune auteur né à Paris mais d’origine vénézuélienne. Ces racines sud-américaines expliquent sans doute son ton et son univers très personnels, qui tirent vers le conte, la fable, dans des décors exotiques aux saveurs, senteurs et couleurs puissantes.... Lire l'avis à propos de Sucre noir

Le lien : http://wp.me/p2X8E2-RF Le texte : Toute cette histoire tourne autour d’un trésor. D’abord celui d’un navire dont le naufrage qui ouvre le livre est un des plus beaux moments de lecture de ces dernières semaines. Il y a dans ces quelques pages un souffle épique qui ne se dément plus au fil des pages. Ensuite, celui à la... Lire l'avis à propos de Sucre noir

Une merveille ! Une douceur, une caresse, une pépite, un trésor... Comme l'histoire qu'il nous livre, ce roman est parfaitement ciselé, travaillé. Il fait partie de ces rares livres, où l'auteur nous prend par la main, et nous entraîne dans son monde, dans cette plantation de cannes à sucre, dans ce monde de chercheurs de trésor. On est bercés tout au long de la lecture par la plume de Miguel... Lire la critique de Sucre noir

Miguel Bonnefoy avait montré son talent dans «Le voyage d’Octavio» pour parer les événements historiques et ses personnages d’attributs de légende, à partir d’une mythologie initiale irrigant tout le roman. Dans la filiation de ce premier roman, «Sucre noir», paru le 16 août 2017 aux éditions Rivages, s’ouvre sur l’image fantastique d’un navire naufragé au milieu d’une forêt et qui s’enfonce... Lire la critique de Sucre noir

C'est le livre que j'ai préféré cette année. Une merveilleuse mise en abîme causée par le trésor avec de très beaux retournements de situation. Très belle histoire, bien scénarisée, même si la partie romance n'a pas été trop mon truc. Très bien écrit, ce qui est plutôt rare de nos jours. Il est possible que je le relise dans quelques années. Ce livre est plus une romance dramatique qu'un... Lire la critique de Sucre noir