Critiques de Vengeances

Vengeances
Eric-BBYoda
6

Un Djian mineur

"Vengeances" est un Djian mineur. D'ailleurs, on le soupçonne même d'avoir un peu bâclé le travail, au vu d'une fin certes fascinante avec ses béances quasi surréelles, mais quand même un tantinet...

le 19 févr. 2015

2 j'aime

Vengeances
stumpyjoe
6

Critique de Vengeances par stumpyjoe

Certains disent que le style est le plus important ; certains iraient se couper un bras pour avoir du style. Le question n'est pas de savoir si Djian a du style. La question posée par ce livre, somme...

le 5 févr. 2012

2 j'aime

Vengeances
RalphMachmot
8

je m'en veux

d'avoir méprisé Djian pendant plus de vingt ans à cause de films à l'esthétique douteuse(*). Grave erreur. Depuis Doggy Bag, je suis devenu un inconditionnel. Et même (et surtout) si je suis le seul...

le 6 juin 2011

1 j'aime

Vengeances
Nadouch03
5

Critique de Vengeances par Nadouch03

Même si cela fait des années que je n'ai pas lu Djian, aux premières pages j'ai reconnu le style et l'ambiance : un bonhomme en proie à toutes les affres possibles (deuil de son fils, penchant pour...

le 3 avr. 2019

Vengeances
Cinephile-doux
6

Des êtres cabossés

Un poil frustrant, le dernier Djian. Trop court et linéaire, sans la riche étoffe narrative qui caractérisait Impuretés ou Impardonnables. On a le droit de faire la fine bouche, non, vu le bonheur de...

le 27 avr. 2017

Vengeances
murakamien
7

Vengeances

Djian agace les milieux littéraires bien pensant. Il réunit effectivement nombre de paradoxes. Tout d'abord, il cite constamment en référence les séries TV américaines (Six Feet Under, Les Soprano,...

le 27 sept. 2011

Vengeances
ALIQUIS
4

Critique de Vengeances par ALIQUIS

Un livre d'un auteur pourvu d'un gros ego. On reste à la surface des personnages, alors on enchaîne les scènes de beuverie pour éviter d'en parler plus, évocation très inutile d'un passé d'activiste...

le 12 sept. 2011

Vengeances
jcv
7

Critique de Vengeances par jcv

Comme toujours, on ne peut qu'être séduit par le style Djian, l'élégance de l'écriture ordinaire, les changements de plan, la peinture des personnages... Déjà un bon point...on ne s'ennuie...

Par

le 19 juil. 2011