Avec ce troisième opus, j'ai eu le sentiment que l'histoire mettait un temps fou à démarrer.
Certes on retrouve la petite bande pour des "convergences" sans adjuvants, dans des camps divers et variés. Mais on est loin du rythme enlevé des deux premiers tomes.
Puis ça s'accélère avec la vengeance de Dopalet, ça s'enlise à nouveau après la libération de Céleste et ça se termine en apothéose avec un massacre général.
On retrouve par ci par là quelques observations très pertinentes sur l'évolution de la société après les attentats de Charlie Hebdo et du Bataclan, avec énoncé de quelques questionnements associés. Mais l'exercice de style futuriste qui termine ce tome ne me paraît pas indispensable.
Sans doute un peu de lassitude côté autrice, personnages et lectrice.