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Une banalité fantasmée
Dire du livre de Coop-Phane qu'il est un chef d’œuvre serait exagéré. Il n'en possède pas l'envergure. Et c'est pourtant ce manque d'envergure qui fait tout le charme du récit, tout comme le manque...
Par
le 26 janv. 2015
Zénith-Hôtel par Nanash
Lorsque notre civilisation se sera éteinte, les archéologues extra-terrestres se pencheront sur les vrais mystères de ce monde:
- Qu'est devenu L'Atlantide ?
- Comment expliquer le succès de Maître Gims ?
- Pourquoi j'ai eu envie de lire Zénith Hôtel ?
Puisque je suis bien urbain, je vais donc tenter de répondre à cette dernière question (pour les deux premières, aucune idée pardonnez-moi).
Après en avoir entendu parler à la radio et avoir vu le livre en rayon je l'ai pris l'année dernière un bête achat compulsif quoi. Le sujet a du potentiel, raconter des tranches de vie des clients d'une prostituée. Sauf que ça ne fonctionne pas, les clients sont des clichés ambulants et la dame n'a pas grand chose d'intéressant à dire.
Plus novela que roman, Zénith Hôtel se lit rapidement en deux ou trois heures, mais pas vraiment d'agréables heures. Le style est haché parce que ça fait "moderne" et "alternatif", mouais, à la lecture, c'est surtout pénible. J'ai bien du mal à deviner quelle était l'idée de départ de l'auteur, à part de jouer à fond la carte de son côté pseudo-subversif et finir par être complètement vide.
Pas un vrai scandale, mais est tout à fait dispensable. 5/10
- Qu'est devenu L'Atlantide ?
- Comment expliquer le succès de Maître Gims ?
- Pourquoi j'ai eu envie de lire Zénith Hôtel ?
Puisque je suis bien urbain, je vais donc tenter de répondre à cette dernière question (pour les deux premières, aucune idée pardonnez-moi).
Après en avoir entendu parler à la radio et avoir vu le livre en rayon je l'ai pris l'année dernière un bête achat compulsif quoi. Le sujet a du potentiel, raconter des tranches de vie des clients d'une prostituée. Sauf que ça ne fonctionne pas, les clients sont des clichés ambulants et la dame n'a pas grand chose d'intéressant à dire.
Plus novela que roman, Zénith Hôtel se lit rapidement en deux ou trois heures, mais pas vraiment d'agréables heures. Le style est haché parce que ça fait "moderne" et "alternatif", mouais, à la lecture, c'est surtout pénible. J'ai bien du mal à deviner quelle était l'idée de départ de l'auteur, à part de jouer à fond la carte de son côté pseudo-subversif et finir par être complètement vide.
Pas un vrai scandale, mais est tout à fait dispensable. 5/10
5
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le 23 déc. 2013
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2 commentaires
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