Comme pour un gâteau : on ne prend qu'une part, voir deux grand max

Alors, j'ai essayé de laisser une petite chance à la suite de cette saga, malgré la difficulté que j'ai eu à terminer le second tome, en me disant que les défauts que j'y avais trouvés changeraient un minimum et que le personnage de Tessa était aussi imbuvable parce que cela suivait l'événement du pari. J'étais très loin du compte.

Ça tourne en boucle avec des "Je t'aime / moi non plus" permanents que, personnellement, je ne supporte pas, surtout quand ils sont infondés. L'auteur nous met des disputes sans arrêts, pour rien, histoire de rallonger ce troisième volet qui n'existerait pas sinon. Elle en vient même à mettre des pauses en pleine dispute, du genre : ils sont en train de se disputer pour la énième fois concernant une installation à Seattle (ou un truc dans le genre), puis ils décident de couper court (va savoir pourquoi et comment, c'est venu), uniquement pour coucher ensemble et ensuite la dispute reprend. Ce sont plusieurs passages de ce genre, qui m'ont laissé perplexe.

J'ai finalement abandonné quand, après une dispute (encore une), Hardin se barre et rencontre le sosie de Tessa, mais en version lesbienne. Alors, là, je me suis dit qu'on avait atteint le fond et que ça ne pouvait allait qu'en se dégradant davantage.

C'est le dernier tome de cette saga que je lirais et je lève mon chapeau à toutes celles qui ont poursuivi leur lecture.