La lecture de ce premier tome ayant été ennuyeuse et ayant plus d'une fois fleurter avec l'abandon, j'en resterai là avec cette série à laquelle je ne reconnais qu'un seul charme, son univers à la "Tim Burton".
L'autrice explore le genre roman sociétal associé à des emprunts au genre steampunk voire fantastique qui ne le rendent pas du tout crédible en tant que roman historique, étiquette que personnellement je refuse de lui accorder.
Je n'ai pas du tout été captivée, et encore moins emportée, par les aventures de Hazel et Jack. Le récit est censé se dérouler à Edimbourg autour de 1820. Dans ce contexte, la jeune Hazel, aristocrate fantaisiste férue de médecine et se projetant comme future chirurgienne, va s'acoquiner avec des résurrectionnistes, comprendre des marchands de cadavres.
La quête d'émancipation de la jeune femme manque de crédibilité et la romance convenue et prévisible est traitée avec mièvrerie et n'accroche pas réellement l'intérêt. Bref, on s'ennuie.
Plusieurs anachronismes ont fini de m'agacer. Je suis allée au bout de l'opus mais basta, ce genre de littérature ne me convient vraiment pas. Je m'aperçois que j'ai davantage d'exigences en ce qui concerne un contexte historique.