Alexandre Duyck aurait pu faire sienne cette phrase de Philippe Claudel :
«Ce qui me plaît dans la montagne comme dans l'écriture, c'est de me trouver confronté à quelque chose qui me dépasse, de façon humaine, et d'essayer d'y trouver ma voie, que ce soit sur une paroi ou dans un roman.»
J'ai dévoré ce magnifique roman de montagne et d'amour ! L'histoire qui nourrit ce roman est une histoire vraie, celle de Francine et Marcelin Dumoulin, disparus le 15 août 1945, et retrouvés en 2017. Un texte splendide rempli de délicatesse, qui nous raconte une histoire bouleversante. Un remarquable roman dans sa construction plein de respect et de beaucoup d'émotion.