Application SensCritique : Une semaine après sa sortie, on fait le point ici.

Critiques de Confessions d'un automate mangeur d'opium

le 30 mai 2011

Un peu trop d'automate... pas assez d'opium

Confessions d'un automate mangeur d'opium est sur le plan de l'ambiance parfaitement représentatif de l'esprit du steampunk : le Paris de 1889, année de la grande exposition universelle qui a vu la...

le 27 juil. 2017

Ennuyeuses confessions

Pourquoi ai-je relu ce roman de Mathieu Gaborit et Fabrice Colin - deux auteurs que je n'aime pas particulièrement ? Parce que je suis une feignasse qui, par moment, préfère se prélasser à relire de...

le 24 déc. 2014

Le contenant oui, le contenu...bof

Il est difficile de ne pas tomber amoureux de la magnifique ré-édition toute d'or vêtue de Confession d'un automate mangeur d'Opium. Vraiment. Même si le résumé ne m'a pas forcément inspiré, je n'ai...

le 12 déc. 2010

Critique de Confessions d'un automate mangeur d'opium par ElGato

J'aime le steampunk. Non, j'adore ça. C'est un genre vraiment à part, au second degré assumé, une sorte de série B littéraire (ou Z, je me rappelle jamais) à l'esthétique recherchée, aux codes très...

le 14 août 2013

Critique de Confessions d'un automate mangeur d'opium par Deidre

(...) L’ambiance est réussie : nous sommes dans le Paris de la fin du XIX ème siècle, en pleine exposition universelle, et, mêlé à cette nouvelle substance mystérieuse (l’éther) qui permet de voir...

le 31 mai 2011

Critique de Confessions d'un automate mangeur d'opium par Sarah_Connor

Il y a le bonheur de l'univers : le steampunk est-il autre chose qu'une esthétique ? Et j'adore. Mais il y a un choix dans le style, qui ne me convient pas tout à fait : les descriptions dépeignent...

le 20 sept. 2025

Pitié…

La formule d’un patient, ancien boxeur, me revint spontanément en mémoire : « Si t’as peur du gars, imagine-le sur la cuvette des toilettes, avec la gueule toute tordue par la colique. Tu verras,...

le 17 févr. 2023

Tout est trop facile

L’intrigue se déroule à Paris, dans un univers Steampunk. Margaret Saunders est comédienne et son frère, Théophraste Archimbault, est psychothérapeute spécialisé dans les effets de l’éther sur le...

le 20 mars 2021

Du steampunk (trop?) ancré dans les codes du genre

J'ai aimé découvrir cet univers à travers la plume de Mathieu Gaborit : on est dans le b.a.-ba du steampunk, ce qui est à la fois une force et une faiblesse pour ce récit qui tient sa promesse mais...

le 8 avr. 2021

Confessions d'un automate mangeur d'opium

L’écriture n’est pas égale, mais cela est logique puisqu’il y a eu deux paires de mains pour écrire cet ouvrage. Chez l’un on s’intéresse à l’aspect matériel et technique, pendant que l’autre...