Toutes les informationsA lire la correspondance que les deux hommes échangèrent pendant plus de trente ans, on se dit que Zweig est vraiment le fils que Freud aurait aimé avoir : il apprécie en lui sa " modestie intérieure ", tout en étant séduit par l'écrivain, si proche à bien des égards d'Arthur Schnitzler qu'il considérait comme son " frère jumeau ". C'est de la même famille spirituelle qu'il s'agit - aussi éloignée de Dostoïevski (Freud ne l'appréciera jamais vraiment) que d'un Karl Kaus, ce démolisseur patenté,... Voir plus