Critique de "Crépuscule d'acier, tome 1"

Lu en anglais

21 ième siècle, la singularité est arrivée. Une intelligence artificielle supérieure, l'Eschaton, est née et une de ses premières actions a été de disperser la majorité de l'humanité sur des planètes située à des centaines d'années lumière. 400 ans plus tard, les humains des frontières éloignées redécouvrent leurs origines. Une de ces colonies, la Nouvelle République, a vécu isolée en ne permettant que les technologies les plus simples tout en contrôlant la diffusion d'information. Or, voici qu'une civilisation extraterrestre très avancée pénètre leur secteur et diffuse toute information requise par les habitants. Se sentant menacée, les autorités de la colonie envoie une flotte de bataille pour détruire l'adversaire. Mais...

Deux civilisations complètement différentes : une autocratie hiérarchique avec un contrôle poussé sur les citoyens et l'information, un peu comme l'ancienne union soviétique, et une organisation collaborative avec une technologie époustouflante et le partage d'information sans restriction. Une diplomate et un ingénieur de la terre originale sont conscients des enjeux et essaient de faire de leur mieux tout en craignant les réaction éventuelles de l'Eschaton qui pourrait facilement stériliser tout le secteur s'il se sent menacé.

Des idées intéressantes ! Par contre, l'histoire est poussive et ne réussit pas à venir nous chercher malgré toutes les ressources que l'auteur sort de son sac. Sans compter que les personnages sont plutôt faibles. Il faut considérer qu'il s'agit de ses débuts.

Disons que j'ai aimé avec des restrictions.