Don't poop!
On pourrait reprocher à Stephen King de nous resservir sa recette préférée: une bande de gamins qui partent à l'aventure on a déjà vu ça dans The Body. Les retrouver une fois adultes, réunis à...
Par
le 18 oct. 2014
6 j'aime
5
Faut-il que de tout les Stephen King (et il en a écrit plein), je choisisse de lire en premier un de ses moins bons romans ?
Commençons par le positif : les 5 personnages qui forment une bande de copains. Jonesy, Henri, le Beav, Pete et Duddits sont attachants, leur amitié réchauffe et donne de belles scènes.
Voilà c'est tout pour le positif. Et diable je suis quand même allée au bout des 700 longues pages de ce pavé.
Le pitch de base aurait pu être intéressant, mais King cherche, avec sa fin, à le rendre inutilement flou. Et pas flou genre "c'est mystérieux, fin ouverte, chacun choisit son camp", flou genre "héhé je suis intelligent je vais vous pondre un truc !" qui fait juste qu'on ferme le roman en soupirant.
De même, le côté très scato a faillit me convaincre d'arrêter le livre (j'aurais du), car ça cassait le côté angoisse pour y mettre un côté nanar ridicule et obsène. Honnêtement, je pense que 80% des raisons pour lesquelles l'angoisse ne prend pas est à cause de ce choix.
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Littérature Amérique du Nord et Lus en 2022
Créée
le 22 juil. 2022
Critique lue 50 fois
D'autres avis sur Dreamcatcher
On pourrait reprocher à Stephen King de nous resservir sa recette préférée: une bande de gamins qui partent à l'aventure on a déjà vu ça dans The Body. Les retrouver une fois adultes, réunis à...
Par
le 18 oct. 2014
6 j'aime
5
2001. King revient enfin après l'accident de voiture qui a failli lui coûter la vie en 1999. Le problème de "Dreamcatcher" est, un peu à l'image des "Tommyknockers", que la deuxième partie relâche...
Par
le 8 oct. 2011
5 j'aime
Parfaite illustration du roman qui se mérite, Dreamcatcher se nourrit du fantasme américain d'une invasion extraterrestre larvée et dissimulée par un gouvernement prêt à tous les sacrifices pour que...
le 14 mars 2021
1 j'aime
1
Du même critique
Je ne comprend pas qu'on puisse dire que ce Woody Allen est un Woody Allen pour frustrés. C'est un film sur l'amour et certainement pas la vision idyllique de l'amour ou celle dont on a l'habitude,...
Par
le 9 août 2010
46 j'aime
3
Pour certains ce film est un tissu de bien-pensance, de cliché et au fond, de non-respect des jeunes puisqu'on les présente comme incapables de se débrouiller sans leur prof. Sérieusement ? En gros,...
Par
le 8 juil. 2013
35 j'aime
2
Une grande vague d'amour pour ce film touchant et onirique. Ce film décrit tellement bien la magie simple du quotidien : attendre le bus avec sa soeur, rentrer sous la pluie, suivre un papillon (et...
Par
le 24 juil. 2010
16 j'aime
1