Simon Liberati a du talent (écriture acérée, épluchage et déconstruction méticuleux des récits qui ont fabriqué l'icône, portrait au vitriol du Tout Los Angeles des années 60) mais on ne partagera pas forcément sa fascination amoureuse pour les photographies de la dépouille "sans perruque" de Jane Mansfield après l'accident.
indraens
6
Écrit par

Créée

le 7 oct. 2012

Modifiée

le 7 oct. 2012

Critique lue 307 fois

indraens

Écrit par

Critique lue 307 fois

D'autres avis sur Jayne Mansfield 1967

Jayne Mansfield 1967
CykerLogo
2

Un torchon froid

C'est clairement mauvais. Le style est froid, distancié, presque documentaire. Peu d'interactions entre les personnages, aucune psychologie exploitée. Que du factuel! Le personnage principal...

le 17 févr. 2018

1 j'aime

Jayne Mansfield 1967
ludovico
8

La blonde et moi

C’est d’un livre dont il s’agit aujourd’hui, qui m’a fait de l’œil dans ma librairie favorite, et que j’ai dévoré : Jayne Mansfield 1967, de Simon Liberati. Sarcastiquement sous titré Roman, il...

le 19 mars 2017

1 j'aime

Jayne Mansfield 1967
VirginiA
5

L'artiste qui se fait appeler Jayne Mansfield.

Quand on a un sujet aussi rêvé que la déchéance et la mort brutale d'une des plus sulfureuses figures hollywoodiennes, et qu'on de quoi décliner l'affaire selon des angles aussi porteurs (sa dévotion...

le 12 nov. 2012

1 j'aime

Du même critique

La Ligne verte
indraens
1

Critique de La Ligne verte par indraens

Lamentable! Pour faire plaisir à Spark voici pourquoi : Mise en scène pompier et propagande pro-peine de mort masquée par un épais nuage de gaz lacrymogène (martyre du grand benêt christique, petite...

le 2 oct. 2010

13 j'aime

16

Vénus noire
indraens
2

Sordide jusqu'à l'épuisement

Finalement on ne saura rien de plus de Saartjie Baartman que ce qu'en avait montré le Musée de l'Homme de Paris, puisque dans "Vénus Noire" Abdellatif Kechiche à son tour la prive d'intériorité. Ne...

le 9 nov. 2010

10 j'aime

Des éclairs
indraens
10

175X3

Des éclairs de Jean Echnoz, biographie romancée du savant Nicolas Tesla, comporte 175 pages. Ce qui pourrait en faire un roman court. Mais voilà, vous pouvez déjà multiplier ce nombre par 3 et si...

le 30 sept. 2010

9 j'aime