On est habitués aux multiples retournements de situations à la fin de chaque oeuvre de Joël Dicker, lesquelles sont souvent agréablement surprenantes. En revanche, dans l’énigme de la chambre 622, la fin me laisse perplexe. Il en a malheureusement un peu trop fais dans le sensationnel, entre l’imposteur et l’Anglaise imaginaire. Sinon, dans l’ensemble, le livre est très plaisant. Sa plume simple et efficace permet de ne pas relâcher notre attention. C’est son véritable point fort.
Créée
le 17 nov. 2025
Critique lue 1 fois
Genève. Un hôtel huppé où l'auteur himself y séjourne pour quelques vacances. Entre deux plaintes au sujet de son éditeur décédé l'année précédente, il y fait la rencontre de Scarlett, riche...
le 13 mars 2020
17 j'aime
6
Une trop grande utilisation des sauts temporels, une inégalité d'écriture, des passages qui font beaucoup penser aux derniers jours de nos pères qui n'est quand même pas le meilleur livre de Joël...
Par
le 24 juin 2020
12 j'aime
2
Publié sur L'Homme Qui Lit : Difficile d’être passé à côté de la sortie du dernier Joël Dicker, sortie décalée de fin mars à fin mai à cause de la fermeture des librairies pendant l’épidémie de...
Par
le 29 juin 2020
11 j'aime
4
Évidemment, on est loin d’un chef d’œuvre au suspense haletant et insoutenable. Pour autant, l’histoire reste « mignonne » et la lecture est assez rapide. Sans regrets donc.
Par
le 17 nov. 2025
On est habitués aux multiples retournements de situations à la fin de chaque oeuvre de Joël Dicker, lesquelles sont souvent agréablement surprenantes. En revanche, dans l’énigme de la chambre 622, la...
Par
le 17 nov. 2025
Le livre est dans l’ensemble très bon, n’ayant que très peu de King en guise de référence. Jusqu’aux 200 premières pages, on a néanmoins un peu du mal à justifier le titre du livre. Par la suite,...
Par
le 17 nov. 2025
