Et oui cela existe. A part le premier chapitre, le reste est à éviter. Ce livre rassemble une collection de feuilletons écrit sur plusieurs années qui tous ont rapport avec cette femme de trente ans, Julie. Il y a donc un manque de continuité qui est déroutant. A chaque chapitre, Balzac recommence à zéro et on décroche. La plupart des situations sont invraisemblables, comme une des filles qui quitte le domicile familiale pour suivre un meurtrier qui s’avère être un corsaire, que le père ruiné rencontrera des années plus tard dans un port. Et puis ce noble Anglais qui meurt d’être éconduit par Julie.
Le style est encore lourd, les répétitions abondent. Et Julie nous lasse dans sa dépression qui n’en finit plus. Oui, je sais, c’est un des premiers romans qui parle de la femme, de sa vie sentimentale, de ses émotions. Alors, d'accord, mais le premier chapitre seulement.

PietroValletti
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le 22 août 2019

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