Suite de "La poupée sanglante" où nous retrouvons les protagonistes là où on les avait laissés.
Si j'ai bien aimé ce dernier, "La machine à assassiner" m'a bien moins plus.
Le côté fantastique est beaucoup plus léger que le premier roman. Cela laisse la place à toute la partie scientifique autour de la machine "Gabriel". On suit le récit d'un point de vue externe, et quelque peu décousu, le parcours de Gabriel, de Christine et de Jacques.


J'ai trouvé le récit lourd, avec beaucoup de description et plusieurs longueurs. L'histoire démarre lentement et l'on retrouve nos personnages que tardivement. Christine m'a paru nunuche ici et Jacques un peu lamentable.
On a cependant certaines réponses aux mystères de l'empouse et du marquis, ainsi que sur les jeunes filles disparues dont a été accusé Bénédict Masson pour leurs assassinats.


Gaston Leroux use d'humour et de sarcasme pour dépeindre les Parisiens qui se retrouvent mêlés à cette intrigue.


Une suite qui se laisse lire mais sans plus pour moi.

Whale
5
Écrit par

Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Littérature française

Créée

le 4 déc. 2020

Critique lue 67 fois

Whale

Écrit par

Critique lue 67 fois

Du même critique

Oreiller d'herbes
Whale
7

Critique de Oreiller d'herbes par Whale

Grande amatrice de Natsume Söseki, j'ai encore une fois été agréablement surprise !"Oreiller d'herbes" est un roman poétique nous narrant le voyage d'un peintre en quête de repos, de sérénité et...

le 13 nov. 2023

4 j'aime

Un étranger dans la maison
Whale
5

Critique de Un étranger dans la maison par Whale

Un petit thriller "soft" qui n'est pas sans rappeler les téléfilms et que j'ai trouvé très "Américain" dans son déroulé et sa finalité. Bien que la lecture soit facile et fluide, je n'ai pas réussi à...

le 25 juin 2022

2 j'aime

Un dîner chez Min
Whale
8

Critique de Un dîner chez Min par Whale

Une série que je prends plaisir à lire. Le personnage de Chen est fascinant et toujours égal à lui-même, avec encore plus de contrainte et de danger pour lui. Amateur de poésie et gastronome, il...

le 26 juin 2021

2 j'aime