L'histoire ne m'intéressait pas particulièrement : je ne suis pas adepte de politique fiction. Mais le style, le ton, captivent dès la première page. Et quelle finesse ! Cette histoire tient en haleine, tout en laissant à chaque page la sensation de passer à côté d'une allusion qui échapperait, de reconnaître quelque chose, quelqu'un, que l'on ne saurait nommer. Merci, Pierre Rickmans, que pour plus de commodités nous appellerons Simon Leys. "Et d'ailleurs, c'était lui."
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.
Créée
le 17 févr. 2016
Critique lue 180 fois
D'autres avis sur La Mort de Napoléon
Simon Leys, éminent sinologue belge, est surtout connu pour avoir été l'un des premiers intellectuels occidentaux à dénoncer les excès du maoïsme au début des années 70. En 1986, il publie son unique...
Par
le 23 févr. 2020
Si tout le monde connaît Simon Leys comme sinologue et comme critique de la Révolution culturelle, il est par contre beaucoup moins connu comme romancier. Il n’a en effet écrit qu’un seul roman,...
Par
le 3 août 2016
L'histoire ne m'intéressait pas particulièrement : je ne suis pas adepte de politique fiction. Mais le style, le ton, captivent dès la première page. Et quelle finesse ! Cette histoire tient en...
Par
le 17 févr. 2016
Du même critique
Long, très lent, mais ni contemplatif ni esthétisant, et très émouvant. On s'attache très vite à ces personnages jeunes et vivants. Il se dégage de ce film une espèce de nostalgie paradoxale : un...
Par
le 10 févr. 2016
2 j'aime
Après la bande annonce plutôt racoleuse, je m'attendais au pire : un concentré de poncifs à la fois ringards, inutiles et de mauvais goût sur un sujet facilement spectaculaire. Quelle heureuse...
Par
le 14 févr. 2016
1 j'aime
1
Rarement vu un film aussi fin sur les blessures et les incompréhensions homme-femme, sans règlement de compte sexistes (d'un côté comme de l'autre) stériles, tout en humanité. Des acteurs...
Par
le 17 févr. 2016
1 j'aime
