Sur le plan policier, plutôt bien écrit, une intrigue bien ficelée qui nous tient jusqu'à la fin.
Par contre, quel calvaire à lire ! L'obsession de l'autrice sur l'apparence est une torture. Entre sa grossophobie qui apparaît toutes les 3 pages, la comparaison d'une vieille femme à un sachet de pruneaux (si si !). A fond dans la diet culture, un pseudo-feminisme qui tourne vite au sexisme. C'était déjà le cas dans Le Prédicateur mais celui-ci qui ouvre la saga est un enfer !
On dira que c'était l'époque. Mais vraiment à fuire en 2025, y a tellement de polars pas problématiques !