6
Déçu je suis
Eco bordel de merde, Umberto Eco. C'est un de mes romanciers favoris, pourtant sa carrière est très inégale. Si on résume, Le Nom de la Rose : tuerie ; Le Pendule : tuerie ; L'île du jour d'avant :...
le 30 avr. 2011
16 j'aime
3
L'histoire de l'antisémitisme au XIXème siècle
Attiré par une quatrième de couverture excitante annonçant un roman nourri de complots, d'escroqueries, de tromperies et de secrets de l'histoire du XIXème siècle, la lecture du livre s'est finalement annoncée plus laborieuse qu'agréable.
Des bribes d'histoires vous accrochent et vous emportent quand d'autres vous laissent retomber dans une sorte d'ennui terrible. Le livre est bourrée de longueurs, et suivre pendant plus de 500 pages un homme comme le capiston Simonini est déjà un exploit (un vilain, malhonnête, antisémite au plus haut point, fourbe, trompeur et terriblement antipathique). Le Cimetière de Prague n'est pas un roman sur le XIXème siècle secret (comme le vend la quatrième) mais bien d'avantage et quasi-exclusivement sur l'histoire de la naissance de l'antisémitisme en Europe.
L'écriture est agréable et des passages sont assez captivants, d'où cette note de 6 mais il faut perpétuellement s'accrocher à la lecture pour achever ce roman complexe et dense en faits et personnages et occasionnellement entrecoupé de recettes de cuisine.
Des bribes d'histoires vous accrochent et vous emportent quand d'autres vous laissent retomber dans une sorte d'ennui terrible. Le livre est bourrée de longueurs, et suivre pendant plus de 500 pages un homme comme le capiston Simonini est déjà un exploit (un vilain, malhonnête, antisémite au plus haut point, fourbe, trompeur et terriblement antipathique). Le Cimetière de Prague n'est pas un roman sur le XIXème siècle secret (comme le vend la quatrième) mais bien d'avantage et quasi-exclusivement sur l'histoire de la naissance de l'antisémitisme en Europe.
L'écriture est agréable et des passages sont assez captivants, d'où cette note de 6 mais il faut perpétuellement s'accrocher à la lecture pour achever ce roman complexe et dense en faits et personnages et occasionnellement entrecoupé de recettes de cuisine.
6
Écrit par
Créée
le 26 août 2012
Modifiée
le 9 sept. 2012
Critique lue 283 fois
D'autres avis sur Le Cimetière de Prague
3
le nom de l'arthrose
Umberto Eco, malgré toute l'admiration que je lui porte, est devenu un vieil homme un peu radoteur, que l'on visite le dimanche à la maison de retraite en regardant l'heure à la pendule du salon, et...
Par
le 24 avr. 2011
15 j'aime
5
9
Critique de Le Cimetière de Prague par Stephane Albert
Complot, arnaque, trahison, mensonge, haine sont les maîtres mots de ce roman. Les romans de M. Eco sont toujours d’une grande érudition, celui-ci n’échappe pas à la règle et nous dépeint une Italie...
le 1 août 2013
9 j'aime
5
Du même critique
7
Tragique et poétique mais...
Classique de l'animation japonaise je me suis dit qu'il fallait tout de même le voir! D'autant plus que je ne suis vraiment pas un adepte du style de dessin japonais... Ceci est dit, passons à la...
Par
le 16 déc. 2010
10 j'aime
3
7
Tintin et ses amis se dévergondent en Thailande
Précisons les choses dès le début, Tintin en Thailande n'est pas de Hergé. C'est une parodie, un pastiche de Tintin. Il faut le lire en ayant cela en tête. Tintin et ses camarades quittent donc leur...
Par
le 17 oct. 2015
8 j'aime
9
Chronophagie extrême
Ce jeu est l'un des jeux les plus chronophages qui soit! Une partie dure entre 2 et 8 heures, pour une moyenne 5-6 heures... On pourrait penser que le tour à tour donne une occasion d'arrêter de...
Par
le 26 sept. 2010
8 j'aime
1
