Je ne sais plus quand, pour la dernière fois, j'avais lu un roman d'Amélie Nothomb.
Hier, par hasard, j'ai eu le crime du comte Neville entre les mains et je l'ai lu, sans attente, sans espoir à décevoir. Une lecture un peu mécanique, motivée par la finesse de l'ouvrage.
Il y a un charme certain dans le crime du comte Neville. Est-ce dû à la belgitude diffuse ? A l'impression d'être plongé dans une tragédie grinçante ? A des phrases définitives comme celles que je reprends à mon compte pour titrer cette critique. Je n'en ai aucune idée.
Toujours est-il que j'ai passé un agréable moment.
Toujours est-il que je regrette la chute.
Toujours est-il que j'ai relu un Amélie Nothomb.