Un ultime tome éclatant d'excentricité et dans lequel chaque personnage, qu'il soit homme ou animal, se dandine avec joie pour faire étalage de sa singularité. La famille élargie de Gerry retrouve sa place première, qu'elle avait perdue dans le volume précédent, et amuse par le peu d'harmonie qui y règne. Les descriptions de Corfou, de sa faune, de ses habitants et de leurs mœurs rayonnent fort, jusqu'à irradier le lecteur dans le chapitre consacré à une grande et cocasse célébration. Je quitte le récit (très romancé) de cette vie saugrenue avec regret.