De Taylor Jenkins Reid, j’ai adoré Daisy Jones & The Six et ai été plus circonspect concernant Les Sirènes de Malibu. Aussi m’est-il apparu nécessaire de lire une troisième œuvre de la romancière américaine afin de me positionner : est-ce que je l’aime ou pas ?
J’ai donc profité de la sortie en grande pompe de Le(s) Vrai(es) Amour(s) en format poche pour me plonger dans ce roman au pitch appétissant : une femme éperdument amoureuse perd pied lorsque son mari disparaît au cours d’un accident d’hélicoptère. Et puis, le temps aidant, elle parvient à se relever et fini même par retomber amoureuse. Et alors qu’elle est sur le point de se remarier, elle apprend que son mari, qu’elle croyait mort, est vivant. Elle va alors se retrouver face à un choix impossible : qui choisir ?
Et le résultat, malgré quelques poncifs et un brin de mièvrerie – dont je comprends malgré tout la nécessité vu le thème du roman – est très agréable. Le style est fluide et Taylor Jenkins Reid propose à ses lecteurs une histoire forte bien qu’un peu facile. Mais ce n’est pas gênant car, encore une fois, cela est inhérent au thème abordé. En tout cas, j’ai pris beaucoup de plaisir à lire ce livre et je ne regrette pas mon choix.