le 8 sept. 2015
Changelessness is decay.
Une conclusion magistrale de ce cycle passionnant, qui ouvre également la voie pour la suite de l’univers Asimov. Néanmoins, comme pour Terre et Fondation, on ressent quelques longueurs, notamment au...
Application SensCritique : Une semaine après sa sortie, on fait le point ici.
Après les quatre premiers tomes, l'histoire s'essouffle un peu. Le héros n'est plus Elijah Baley mais ses robots Daneel et Giskard. Le livre retourne sur les traces des précédents : mêmes planètes, même situation politique... Même les nouveaux personnages sont nommés comme les anciens (soi disant en hommage). La seule innovation est la discussion sur la loi zéro de la robotique, ce qui en fait un livre décevant par rapport aux chefs d'oeuvre précédents.
Créée
le 12 janv. 2020
Critique lue 152 fois
le 8 sept. 2015
Une conclusion magistrale de ce cycle passionnant, qui ouvre également la voie pour la suite de l’univers Asimov. Néanmoins, comme pour Terre et Fondation, on ressent quelques longueurs, notamment au...
le 15 oct. 2011
Après la lecture du cinquième opus, j'avais vite envie de conclure l'une des meilleures sagas jamais écrites dans l'histoire de la littérature. Une nouvelle fois on n'est pas déçu. On se retrouve à...
le 12 janv. 2020
Après les quatre premiers tomes, l'histoire s'essouffle un peu. Le héros n'est plus Elijah Baley mais ses robots Daneel et Giskard. Le livre retourne sur les traces des précédents : mêmes planètes,...
le 11 janv. 2020
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