À peine vous ai-je parlés du premier tome que je vous parle du deuxième ! Moi qui avais prévu d’écrire un article « global » sur les tomes deux à sept, je me rends compte que j’ai beaucoup de choses à vous dire sur le livre Malronce de Maxime Chattam. Tant sur les personnages que sur les thèmes abordés (un en particulier), ainsi que sur l’univers et les différentes péripéties. Une chose est sûre : pour lire celui-là, il faut impérativement avoir lu le précédent, l’histoire reprenant exactement là où elle s’était arrêtée.
Dans cette critique, je ferai plusieurs parties, qui correspondront aux points dont je souhaite vous parler : l’histoire, les personnages et le thème de la sexualité (qui occupe bien la moitié de ce tome). J’ai donc autant de points positifs que de points négatifs à énumérer.
Une histoire qui gagne en intérêt !
Là où L’Alliance des Trois mettait du temps à happer le lecteur, l’action démarre dès la première ligne dans Malronce. Bien sûr, il faut se remettre dans le contexte et, du coup, permettre à nos personnages d’apprendre à faire face à l’univers extérieur à l’Île des Manoirs. Ambre, Matt et Tobias font ainsi de bonnes et de mauvaises rencontres, des découvertes qui expliquent pourquoi le Monde a changé depuis des mois. C’est notamment ce principal élément qui m’a fait aimer ma lecture et terminer le livre aussi vite que j’avais lu son prédécesseur.
LIRE LA SUITE !