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chouette !
C'est toujours sur la fin qu'il se loupe et c'est bien dommage. Sans ses 40 dernières pages, ce bouquin qui en compte 400 aurait été parfait. Bien écrit, intense, agréable à lire, fort. Il fait...
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le 27 avr. 2011
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C'est toujours sur la fin qu'il se loupe et c'est bien dommage. Sans ses 40 dernières pages, ce bouquin qui en compte 400 aurait été parfait.
Bien écrit, intense, agréable à lire, fort. Il fait réfléchir, on prend des claques en suivant les vies puis la vie de ces deux petites filles devenues femmes en Afghanistan. Mariam, la bâtarde qui avait grandi loin de tout, cédée par son père à un cordonnier âgé de trente ans de plus qu'elle et violente au quotidien. Laila, l'enfant gâtée, éduquée, contrainte de se marier puisque sans famille.
On suit leur quotidien à Kaboul.
Leurs peines, leurs tentatives d'évasion, leur rivalié, leur amitié naissante...
Le tout dans un Afghanistan qui se transforme en république puis en état islamique au pris de guerre. On y trouve les mêmes annonces à la radio que dans Les cerfs volants de Kaboul, le même fil conducteur en terme de décor.
Les quarante dernière pages sont mièvres, plates. Juste une leçon de morale sur es talibans c'est mal (des fois qu'on ne l'aurait pas compris, avec pour décor une image d'Épinal d'un couple d'amoureux enfin réuni... Dommage.
Bien écrit, intense, agréable à lire, fort. Il fait réfléchir, on prend des claques en suivant les vies puis la vie de ces deux petites filles devenues femmes en Afghanistan. Mariam, la bâtarde qui avait grandi loin de tout, cédée par son père à un cordonnier âgé de trente ans de plus qu'elle et violente au quotidien. Laila, l'enfant gâtée, éduquée, contrainte de se marier puisque sans famille.
On suit leur quotidien à Kaboul.
Leurs peines, leurs tentatives d'évasion, leur rivalié, leur amitié naissante...
Le tout dans un Afghanistan qui se transforme en république puis en état islamique au pris de guerre. On y trouve les mêmes annonces à la radio que dans Les cerfs volants de Kaboul, le même fil conducteur en terme de décor.
Les quarante dernière pages sont mièvres, plates. Juste une leçon de morale sur es talibans c'est mal (des fois qu'on ne l'aurait pas compris, avec pour décor une image d'Épinal d'un couple d'amoureux enfin réuni... Dommage.
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le 27 avr. 2011
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