Une claque !
Ce roman m’a empoigné, enjôlé d’une façon toute à fait surprenante. Moi qui n’avais que très peu apprécié son précédent roman, je dois vous dire que j’avais beaucoup d’appréhension sur cette lecture...
Par
le 28 sept. 2017
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Sans rien connaître de l'auteur, pas mal de critères subjectifs convergeaient pour me rendre cette lecture agréable et inoubliable : un beau titre poétique et désespéré, une bonne moyenne sur Babelio et SC, l'éditeur Sonatine (gage de qualité), la 4e de couverture évoquant les laissés-pour-compte de l'Amérique + l'illustration de couverture "à la Edward Hopper" laissant présager un "road-book" social noir et rugueux.
Hélas, le style, la qualité de l'écriture n'étant pas à la hauteur (une mauvaise traduction ? éternelle question...), j'ai survolé plus que je ne les ai "vécus" (dans le sens d'une empathie envers des personnages de fiction), ces morceaux de vies engluées dans un fatum tenace, dévastées par des choix d'existence casse-gueules, et dont les chemins se téléscopent. Prison, drogue, alcool, armes à feux, une violence brute, un poil de suspens, une construction qui monte crescendo de façon assez molle, ce "mimimum syndical" a suffit à me hisser jusqu'aux dernières pages mais il ne m'en restera bien de très marquant. Je suis globalement resté sur ma faim.
Créée
le 20 juin 2025
Modifiée
le 20 juin 2025
Critique lue 9 fois
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le 28 sept. 2017
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le 20 juin 2025
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Il y a encore moins d'un an, parler de ça te rangeait du côté obscur du bon sens... Maintenant que "Le Monde" en parle, nous voilà sortis du maléfique champ
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le 4 juin 2025
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7
[pp. 129-130] La séparation des pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire est la marque de la démocratie. [...] Sur cet aspect, la crise sanitaire a également eu tendance à rapprocher les systèmes...
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le 21 mai 2025
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2
Puisque certains ici ont déjà - en avril 2025 - sous-noté ce livre de 450 pages sorti en... avril 2025 (certainement des adeptes de méthodes de lecture rapide très efficaces...), souffrez que je...
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le 6 mai 2025
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