Papi Mariole par Barbiraggio

Bonjour.

Un apprenti San Antonio sans génie vous entraîne dans les bas-fonds du siècle, croyant comme tant d'autres qu'humour et bel esprit logent en-dessous de la ceinture, où siège le coup bas, qu'il soit physique ou littéraire.

Ni drôle ni instructif, ça remue l'ordure en hurlant la mélodie bienheureuse du chacal ordinaire : sexe déviant, ironie à l'acide gastrique, vomissures suralimentées en drôleries usées, dans l'exercice d'une littérature appliquée aux stéréotypes d'actualité sur la toile et sa déchetterie de bordels en ligne, aux Louves de service agitant leur féminisme anti-pornographique vengeur de la pauvre fifille à son méchant papa, le tout affublé de l'antihéros (anti-éros ?) de l'EHPAD de service, en collants Alzheimer sans rigueur ni vigueur. Manquent Donald et ses déclarations intempestives , mais non, ça c'est l'actualité d'après 2024... Dommage, ça aurait bien rallongé la sauce tabloïd. J'en passe.

Pataugeoire à la Cyril, juste bonne à décérébrer les moutons.

À bannir.