Elena Ferrante, l’autrice de la saga « l’amie prodigieuse » (que j’ai adoré), nous livre là un joli roman sur la maternité et les désirs antagonistes d’une mère.
Quelques ressemblances avec l’amie prodigieuse : ça se passe toujours dans le sud de l’Italie, avec la même vision du Sud comme « vulgaire », a contrario du Nord qui est le symbole d’émancipation intellectuelle. Toujours est il que cela nous donne envie de visiter les environs de Naples.
L’intrigue autour d’une poupée, qui ouvre la saga, est là aussi le fil directeur de l’histoire. Bref, je n’en dit pas plus, mais comme les 4 tomes de la saga, il se lit très bien et est envoutant.