Après avoir imaginé qu’il avait trouvé sa raison d’être dans l’humanitaire, le narrateur a maintenant abandonné la volonté de se battre et considère qu’il a tout perdu en même temps que ses amitiés et son engagement.
Il se rend à l’enterrement d’un de ses anciens collègues, le Vieux, dont on saura finalement peu de choses si ce n’est que jusqu’à sa mort, il a cru en sa mission humanitaire. C’est l’occasion pour le narrateur de retrouver d’autres proches qui étaient présents pendant le drame survenu alors qu’ils étaient en mission au Soudan du Sud.
Rentré chez lui, ou plutôt dans la maison de sa mère, où il se réfugie en soignant comme il peut son trouble de stress post-traumatique, le narrateur découvre des photos et des documents qu’il avait oubliés et qui lui avait été laissés par Arthur, un journaliste.
J’ai beaucoup aimé cette histoire qui met en scène des journalistes et des humanitaires dans le Soudan du Sud, au sein d’une guerre dont on parle peu.
Voir la chronique complète de Sous le sol de coton noir.