Dans la série mou du genou, je demande le commissaire Winter. Non seulement, il ne se passe rien pendant les 400 premières pages, mais l'épilogue est énigmatique. Les intrigues sont quasi inexistantes, le rythme, "gastéropodien". Et le tout est servi par une édition avec des fautes d'accent, de ponctuation, des lettres manquantes. La totale !
chevinwood
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le 21 janv. 2012

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