Entre chœurs de l'armée rouge et BO de Goran Bregovic, cette œuvre aux accents slaves est extrêmement dépaysante et son grand intérêt réside dans les voix d'enfants, qui manient avec une aisance incroyable le Dogorien, cette langue imaginaire. Au départ petite suite de 28 minutes, l'œuvre a été portée à 70 minutes par Etienne Perruchon, pour servir d'illustration sonore à un film sans paroles du même nom, réalisé par Patrice Leconte au Cambodge. Une sorte d'ovni musical...
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le 9 mai 2012

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