Belle chanson, mais faire croire que l'échec n'est que dans les quartiers difficiles, c'est traiter seulement 55% du sujet. En fait l'échec est partout, sournois , vectorisé globalement par des éducateurs sans âmes et des professeurs sans talents . Pour un salaire certes faible il y a encore trop d'avantages.

Par une société qui valorise les hommes , les femmes n'ont pas le choix que de se tourner vers des métiers à faible implication horaire pour réaliser leurs triple vies. Dommage pour ceux et celles qui avaient ce don , celui d'enseigner, celui de faire comprendre, d'éveiller un intérêt.

Notre survie est dans la refonte de notre système éducatif en faisant en sorte que nos enseignants ne soient plus des calendriers perpétuels cherchant les ponts, les congés pour vivre égoïstement leur temps libre. Ils faudra que nos Enseignants soient reconnus comme des professionnels de haut niveau, non pas dans leurs potentiels à retenir mais dans celui de donner . Il ne peut actuellement y avoir autant d'hommes et de femmes ayant ce talent si difficile à trouver, il y en a donc factuellement qui se cachent derrière le système pour en profiter. Dommage que nous n'ayons pas eu les ressources pour les en empêcher.

Pourquoi les langues sont elles enseignées par des Français. Est ce logique ?
Les professeurs de gestion ou d'économie qui n'ont jamais eu d'objectif d' EBITDA ou de Working Capital . Est ce normal ?
Aucun de nos enseignements n'obligent une réussite pratique ce qui fait que notre système actuel ne peut pas avoir une réelle efficience.
Le manque d'attractivité des salaires , les trop longues périodes d'inactivité éloignent les vrais professionnels , les vrais talents de l'enseignement.

Dommage pour nous , nos enfants et notre pays.

IlfF
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le 3 mai 2012

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IlfF

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