Baki, cette série où le héros éponyme n'est finalement mis en avant que dans son aventure romantique avec Kozue. Baki, cette série où tous les combattants peuvent se faire rétamer par un seul mec, mais que ce mec peut également se faire rétamer par un autre mec, ah mais attendez, on m'informe que ce mec qui rétame tout le monde peut finalement se faire rétamer par le mec qui se faisait rétamer par le premier mec. Baki, cette série qui réinvente l'histoire de la nitroglycérine et qui promeut la synchronicité. Baki, cette série qui n'est qu'un enchainement de combats sans queue, ni tête, où le combattant qui perd sa main peut la retrouver à l'épisode d'après, où le combattant qui a perdu 782489 litres de sang est toujours en pleine forme, où les balles sont moins dangereuses que les fils de pêche. Pourquoi 2 et pas 1 ? J'étais curieux de voir vers quoi tout ce non-sens tendait, jusqu'à ce que
le mec qui entraine la police retourne l'afro-américain.
Là, j'ai décroché dans le n'importe quoi.