IL est de ces séries dont on a un pincement au cœur quand elle se termine mais qu'on sait qu'elle a fait son taff être efficace, enjoué, profonde.
Le pilote ne m'avait pas du tout emballé surtout avec l'environnement des amiches et son héros muet mais elle a su me séduire par son charisme. On se rend pas compte une seconde à quel point elle va balayé une multitude de sujet et l'ampleur que vont prendre certains personnages en saison 1.
Des personnages plus qu'attachant avec du chien. Les scènes de combat des femmes sont percutantes. Puis pour certain personnage il y a des choix de redemption, je ne pensais pas aimé une trame comme celle du nazisme.
Chaque saison est différente voir épisodes par sa manière d’être transmise au téléspectateur.
Pour beaucoup elle est superficielle et trash pour rien, cependant quand on regarde bien chaque scène de sexe ou violence sont orchestrées et en découlent une conséquence.
Ce que j'aime surtout en saison 2, ce qu'on voit la couleur de cœur de chaque personnage , que ce soit en intimité, en combat , en amour. Certes on peut se dire que ce sherif il sert pas à grand chose à part foutre le bordel mais il est juste , entier et par lui justice se fait. Et entraîne chacun à ouvrir les yeux.
BANSHEE restera longtemps un coup de coeur par sa diversité culturelle, ses sujets évoqués et sa badass attitude qui défoule.
La dernière saison nous dit adieu, par son coté onirique, songeur ,des flash-back, des héros dévastés avec pour dernière mission de retrouver le tueur de Rebecca celle avec qui tout à commencé , on fait alors une boucle.
Je m'attendais à ce que le garde du corps du hollandais soit une ennemi redoutable, et il n’appréciait guère sa nièce cependant le combat de fin m'a un peu déçu comparé à celui avec l'indienne en saison 3.
Je suis heureuse d'avoir eu une histoire avec clap de fin.