Bonding nous amène dans le monde du sado-maso. Et forcément aussi, bien sûr car sa semble aller ensemble d'après la série, un monde d’homosexuels dont on précisera bien à l'occasion qu'il est normal pour eux d'avoir les relation les plus loufoques et débridées. Au passage on aura aussi quelque gogo danseur et danseuses ou des zoophiles. Et quelques passages sur le méchant patriarcat et le féminisme.
Derrière tout ça, on montre des gens sensible, qui assument leur penchant mais surtout semblent se perdre et très très fort pour se faire mal les uns les autres. Et bien évidement avoir bien plus de facilité à faire mal à l'autre qu'à lui pardonner ses propres faiblesses.
Du coup si la fin de la seconde saison se veut conclure sur une touche positive, les 2 acteurs principaux se sont perdus. Chacun étant dans son propre égoïsme et recherche de soit et n'arrivent plus à se supporter.
Au final on y voit des gens qui se sentent rejetés car "anormaux". Mais qui comme la société est devenu plus tolérante peuvent quand même assumer leur penchant... Et semblent en revenir pas mieux pour autant.
Il n'arrivent donc pas à s'apprécier vraiment eux même ni leur proches. Car si l'on accusera à l'occasion le patriarcat, c'est surtout entre eux qu'ils semblent se faire le plus de mal. Ce n'est jamais le patriarcat qui attaque vraiment ou les défenseurs des bonne mœurs. C'est eux même et entre eux. Enfin si on s'en tient à ce que montre la série
Du coup peu importe le décors. Les gens se font mal les uns les autres, et il se font d'autant plus mal qu'ils sont proches et se sentent eux même mal et rejetés par la société. Il repoussent alors ce qui les soutiennent et vivent avec eux.