Bworf

Rien de transcendant et un peu soporifique.

Personnages un peu cliché.
Ça sent un peu la redite te tokyo ghoul (qui au delà du côté divertissant faisait déjà un peu emo de 15 ans qui se sacrifie).

Donc bon, vous imaginez bien que si l'oeuvre sur laquelle celle ci surf m'a enmmerdé (bien que grâce aux rythmes et aux suspens j'ai regardé jusqu'aux bout malgré les tire larme leader price qui m'agacait) et bien celle ci aussi.

Même si, c'est vrai c'est pas la même ambiance ni le même univers.

C'est juste le côté tu as des pouvoir organique (d'ailleurs on nous explique pas beaucoup d'où ça vient en même temps en 12 épisodes) et du coup on te traites comme un caca.

Voilou, je vais regarder la suite car là de suite j'ai la flemme de faire autre chose mais sinon bah je lacherais à l'épisode 8.

Ha si,...
Si je peux faire un dernier parallèle avec tokyo ghoul, c'est le côté trop «public ciblé».
On sent vraiment les marketeux derrière qui ont influencé la ou les personnes au scenar pour que ça marche bien sur les ados.

Du genre cahier des charges à remplir.
Comme par exemple la soeur de you qui se fait passer pour une gentille.
Sauf que quand on voit sa nature son visage change.

Et le dialogue se résume grossièrement à
«-c'est nul d'être gentil
- mais en fait tu as fait semblant de ne pas être méchante»
....
Alors je sais que les pas forcément le but de pousser la profondeur d'écriture ou de se débarrasser du manichéisme dans ce genre d'oeuvre.
Après faut pas non plus trop pousser.

En vrai, si vous le prenez pour ce qu'il est, à savoir un divertissement un peu bateau; il fait le taf.