le dieu chat fan de moe

Voilà un nouvel animé du printemps qui s’est terminé il y a peu, un animé totalement léger et à bloque sur le moe, il s’agit d’hentai ouji to warawanai neko.

L’histoire raconte la rencontre entre Youto Yokodera, un étudiant totalement pervers qui ne pense qu’au fille, et Tsukiko Tsutsukakushi une jeune fille qui ne montre jamais ses émotions. Tout deux se rencontre au départ suite à un vœux, formulé au dieu chat (représenté par une statuette sur une colline), l’un voulant pouvoir exprimer plus facilement son coté pervers et l’autre désireuse de ne plus montrer ses émotions afin de paraître plus adulte…

Hélas le dieu chat va réaliser leurs souhaits respectifs mais ces changements de personnalités vont leur apporter pas de mal de problèmes et afin d’annuler leurs souhaits ils vont devoir trouver les personnes qui ont récupéré leur traits de caractères pour pouvoir les reprendre.

Alors au départ j’étais mitigé sur cet animé de type harem, c’est léger voir un peu trop léger même, l’histoire vole au raz des pâquerettes. Mais je dois dire qu’on se prend au jeux, le coté pervers du héros s’efface assez vite (heureusement car sinon ça aurait été assez lourd) et les personnages sont au final plutôt attachant.

J’ai même trouvé les derniers épisodes assez émouvant (choses que je ne pensais pas dire lors des premiers épisodes pour le coup), toute proportion gardé j’ai eu un peu la même réaction qu’avec Chuunibyou demo Koi ga Shitai! qui devenait un peu plus dramatique sur la fin.

Niveau chara design, on est dans du harem et moe, du coup c’est très mignon que ça soit le héros ou des personnages secondaires qui sont super kawaï, mais la palme va à Tsukiko qui n’est clairement pas en reste, c’est surement l’une des héroines les plus moe de l’animation japonaise.

Avec son ahoge (une petite mèche de cheveux rebelle qui bouge suivant l’humeur du personnage), et ses petits bruits quand elle mange où sa voix monochorde, elle est totalement craquante.

Bref si vous êtes fan de k-on et compagnie vous ne devriez pas trop être déçu avec cet animé.

Comme je le disais, au niveau de l’histoire c’est quand même très léger seul la fin remonte le niveau avec un peu d’émotion et de coté dramatique grâce à l’histoire et au mystère qui entoure la famille de Tsukiko, mais bon ça se laisse regarder tout de même sans problème.

En conclusion : hentai ouji to warawanai neko c’est un animé mignon avec plein de moe, plein de kawai à tous les étages, quelques culottes du harem bref le classique de saison.

De ce coté là c’est efficace rien à redire, les héroines sont super mignonnettes, mais ça reste un peu trop léger pour en faire un indispensable de sa collection.

Toutefois la fin de l’animé relève un peu le niveau en rajoutant des petites touches dramatique. Personnellement j’ai passé un bon moment devant cet animé même s’il est loin d’être transcendant.