
Ce qui aurait pu être une bonne petite série sur les dessous de la politique se transforme (en énorme partie grace à Spacey) en merveille de cynisme et de noirceur.
House of Cards réussit là où Boss avait échoué : rendre sympathique la pire des raclures et nous rendre complice (au début à notre corps défendant, puis très vite enthousiaste) des pires saloperies qui composent sa vengeance.
Bref, ça fonctionne à fond.