The Future Diary
6.1
The Future Diary

Anime (mangas) CTC (JA) (2011)

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Fascinant avec quelque chose de rythmé et génial, malgré des défauts abyssaux

Cet animé a une bande son qui me plaît, j'adore en particulier la chanson rockab entraînante dans les bons moments, mais pas seulement, et les actions sont prises dans un rythme entraînant assez idéal. L'animation des personnages, etc., laisse sans doute beaucoup plus à désirer. Ceci dit, dans les images, il y a des trucs qui le font, notamment le personnage de Deus.
Pour ce qui est des personnages; seule Hinata dégage véritablement une aura attachante, ainsi que Ninth, sauf que pour elle ça ne s'impose pas comme ça j'y reviendrai. Mais le personnage phare, c'est Gasai Yuno, l'étrange camarade de classe du héros avec ses bonnes notes, ses cheveux roses. Elle nous est dite mignonne, elle l'est certes, jusqu'à un certain point, mais ce n'est pas du tout un personnage sensuel, attirant sexuellement, qui va se démarquer. Tout l'animé est fondé sur l'interrogation qu'elle pose : qu'est cette fille ? A-t-elle un grain ? Et cette folie qu'on sent en elle ? D'où vient-elle ? Qu'est-ce qui l'explique ? Elle déclare un amour sincère au héros Amano Yukiteru, mais celui-ci en a peur. On a une fille qui s'exhibe nue devant son chéri, et même pour le téléspectateur ça sonne comme quelque chose de désagréable, et déjà ça ça vaut le détour dans un animé. La fille supposée trop mignonne qui met mal à l'aise par sa nudité décomplexée dans les quelques scènes où on glisse sur ce terrain du désir. C'est elle qui désire le héros, et cet abandon est si pathologique que le héros ou les téléspectateurs sont glacés d'effroi. Ceci est aggravé par des scènes assez inattendues dans un animé où on a droit à la peinture des besoins naturels quand les toilettes ne sont pas accessibles. Yuno va "au petit coin", mais c'est juste le coin de la pièce pour faire ses besoins et s'inquiète si ça sent, épisode vécu lors d'une cavale, ou, devant Hinata qui s'indigne, elle veut faire pisser Yukiteru dans un pot, alors qu'il est attaché. Elle exprime sans arrêt son désir en gémissant le nom de "Yukki" et on n'identifie pas le mauvais fantasme de hentai, mais bien le profil d'un personnage détraqué, malsain et dangereux. Néanmoins, le personnage est loin d'avoir été bien pensé sous tous rapports, ou alors l'auteur s'en battait les flancs du reste puisque ce personnage développe une force et des capacités de combat hors du commun qui ne seront jamais expliquées et qui nous font admettre passivement que c'est le fruit de son ultra détermination. Le héros et d'autres personnages vont avoir des doutes sur ses intentions, mais sans doute pas les téléspectateurs qui devinent qu'elle est réellement amoureuse et qu'il y a autre chose derrière, d'autant qu'on apprend assez vite qu'elle cache quelques cadavres dans sa maison.
Il faut dire que les personnages ne sont pas du tout cohérents dans la série, ils ont un énorme problème de continuité psychologique. Cela concernera Gasai Yuno, mais sur un point dont je parlerai plus loin derrière le cache anti-spoiler. Cela concerne aussi le personnage féminin de Ninth. Son hyper violence au début de la série laisse la place à une femme touchante dont les autres actions violentes n'auront plus jamais le même côté dérangeant et dépourvu de tout sens moral. Si on oublie son entrée en scène, c'est le personnage le plus attachant avec Hinata. Le héros lui-même passe de manière douteuse de l'attitude de l'impuissant sur son sort qui pleure beaucoup et qui ne veut pas tuer à un stratège froid qui tue des innocents sur sa route, voire qui peut tuer ses amis et qui se lance dans des actions retorses, compliquées, de champion de l'aventure. Là encore, ce n'est pas cohérent du tout. On a donc plusieurs héros ou héroïnes qui font des virages à 180° dans la personnalité, dans la manière de se comporter.
Pourtant, c'est trépidant à suivre et cela n'entame pas l'intérêt de l'intrigue principale qui ne souffre qu'à la marge de si vertigineuses incohérences et facilités scénaristiques. On sent que l'auteur se passionne pour son intrigue, mais passe vite sur les détails d'articulation à un monde, passe très vite aussi sur la cohérence psychologique des personnages. L'auteur, il a conçu une intrigue technique avant tout.
L'idée de la série, c'est que Dieu va mourir et se cherche un remplaçant et comme il est lui aussi un grand dérangé du ciboulot il ne trouve rien de mieux à faire que d'organiser une bataille royale à partir d'armes originales : des téléphones portables ou parfois des équivalents de téléphones portables qui prédisent le futur. Il y a douze participants (treize en réalité à cause d'un couple si j'ai bien compris) et chacun a son téléphone portable, et chaque téléphone cellulaire a ses propres spécificités. Le téléphone du héros principal récupère un max d'informations aléatoires sur le futur qui va le côtoyer, mais pas sur lui-même. En revanche, son premier allié, la fille Gasai Yuno qui lui court après, a un téléphone qui prédit son avenir, l'avenir de notre héros. D'autres ont des téléphones qui prédisent le futur des possibilités d'évasion ou bien le futur de dossiers d'enquêtes policières ouvertes, etc.
Evidemment, en connaissant ce qui doit en principe arriver, les détenteurs de journaux changent l'avenir, avenir commun à tous et donc plusieurs journaux peuvent changer de discours sur le futur au même instant.
Malheureusement, tout n'est pas clairement expliqué au sujet de chaque téléphone : très souvent, il faut comprendre les choses en passant, et pour ne pas arranger les affaires du spectateur, dans l'animé on a une avalanche de sms à lire, plusieurs en même temps, mais qui ne restent pas à l'écran assez longtemps pour qu'on les lise, à moins de s'amuser à faire pause à chaque fois. Le point fort et très original de la série devient alors un point faible, sachant que, dans le manga, le lecteur peut prendre forcément le temps de tout lire puisqu'il va à son rythme, pas à celui qu'on lui impose d'un épisode animé d'une vingtaine de minutes. Evidemment, il s'agit d'armes pour donner des informations, pas d'armes pour tuer. En revanche, il existe deux manières de tuer dans cette bataille royale, soit on tue directement le possesseur d'un des douze "journaux du futur", soit on brise ou détruit un journal lui-même. Le dilemme, tuer ou ne pas tuer, va se poser, il est d'emblée dépasser par Gasai Yuno, mais le héros finira par le dépasser à son tour. Les victimes collatérales ne manqueront pas non plus. Et l'auteur affectionne les situations glauques. On a des personnages dérangés, on assiste, malgré les ellipses de la narration, à pas mal d'horreurs dérangeantes (deux personnages féminins ont été violés par des groupes dans leur passé, etc.) et on a droit à des rappels de vécu glauque, à des scènes de mise à mort peu reluisantes, etc., avec du gore, avec un œil poinçonné et en même temps avec le zeste cartoonesque du fou furieux qui porte un énorme masque en forme d’œil unique et qui se divise en groupe de cinq à l'aide de marionnettes hypnotisées.
Le fantastique amène le passage dans le monde de Deus qui convoque parfois les joueurs.
Malgré son rythme prenant, la série souffre cependant de longueurs en son milieu. Il y a quelques épisodes : ceux avec le couple aux portables de l'amour, avec l'attaque dans la grande maison isolée d'un ami de Yuki, avec l'intervention du père de Yuki à l'hôpital, où on sent qu'il y a des rallonges, une cassure par rapport à tout l'intérêt prenant de l'intrigue principale. La série aurait gagné à être un peu plus ramassée, il y a eu un peu de dilution.
Les incohérences ne sont pas que dans le caractère des personnages, il y a plein d'incohérences à tous les niveaux et d'ailleurs, malgré les meurtres et bien que nos deux héros soient suivis par la police, on ne comprend pas pourquoi ils sont laissés en liberté, peuvent retourner chez eux à leurs adresses respectives en toute impunité, ni pourquoi il y a des enquêteurs dans la confidence de la dimension fantastique de la bataille royale, mais dirigeant des patrouilles au courant de rien pour un pouvoir étatique qui lui aussi ne semble au courant de rien. Il faut avouer que l'intrigue évolue en culture hors-sol, il n'y a aucun réalisme, aucune vraisemblance dans le raccord de l'action de la bataille royale à une vie en société. Ces incohérences sont assez graves, mais on arrive à les pardonner, car le questionnement sur la fin du jeu et sur les secrets de Gasai Yuno sont l'essentiel et permettent de ne pas s'en soucier outre-mesure. Par ailleurs, cette bataille royale semble avoir inspiré le tournoi du pouvoir et de survie des univers du cinquième arc de Dragon Ball Super dans la mesure où on flirte avec l'anéantissement de l'univers et dans la mesure où un personnage va être cheaté de pouvoir divin à la fin et intervenir de manière providentielle à la façon de Freezer à la fin du tournoi dans l'animé.
Car, oui, Deus va se rendre compte qu'il y a un tricheur dans le jeu et aussi qu'il y a un autre tricheur qui favorise un autre joueur, et ce second tricheur, c'est...


Non pas un joueur, mais la servante censée le suivre sur tout.


On aura donc dans les derniers épisodes des dérives fantastiques plus prononcées, des combats spectaculaires, etc.
Parlons maintenant du cas Gasai Yuno mais derrière le cache anti-spoiler.


La force du scénario ne tient pas qu'à la bataille royale avec une arme originale : les journaux du futur. C'est l'énigme Gasai Yuno qu'il faut résoudre et c'est l'articulation d'un passé traumatique de Gasai Yuno avec le fait qu'il y a déjà eu un premier jeu qu'elle a gagné qui fait que le début de la série ne permet pas de deviner facilement la fin comme dans l'étrangement surestimé Steins;Gate ou d'autres séries sur la boucle temporelle dont la solution est lisible dans le premier épisode. D'ailleurs, une force de Mirai Nikki, c'est de parler de prédictions du futur, de modifications du futur, mais de ne jamais poser clairement la possibilité de la boucle temporelle pourtant accessible à un dieu. Là aussi, ça n'arrive pas comme quelque chose d'invraisemblable, mais il y a un verrou efficace, un jeu de cache-cache, alors que Steins;Gate tout le monde a compris dans le premier épisode que la machine revenait à son point de départ et impliquait son propre bouleversement.
On s'en doute assez vite, Gasai Yuno a tué un personnage et on peut deviner qu'elle s'est tuée elle-même et qu'elle vient elle-même du futur et que donc nous avons un double jeu avec le temps dans une série intitulée Mirai Nikki, autrement dit "journal du futur", car les journaux prédisent l'avenir, mais un personnage vient du futur, et il vient parce qu'il est devenu dieu. Ceci dit, c'est prédictible, mais ça reste dans des limites troubles, car les liens à rassembler sont très distants les uns des autres ; tout est fait pour qu'on ne pense plus au début des révélations sur Gasai Yuno et aux meurtres qu'elle cache. On apprend que c'est un imposteur, mais il faut vraiment être attentif, ce qui était mon cas, pour se dire que si elle utilise bien le journal de Gasai Yuno, c'est qu'elle est une autre Gasai Yuno. On s'en doute pour d'autres raisons, et ça devient assez évident quand on apprend que ses parents étaient banquiers et qu'elle a le code d'une porte secrète en principe, sauf que l'ennemi ne s'en méfie plus, puisqu'elle est supposée être une imposture, et donc une autre. J'avais beau deviner ce qui allait être révélé sur elle, je n'ai pas senti ça comme quelque chose d'évident et lourd. Je n'étais pas dans le "merde, c'est un truc comme ça", j'étais dans le "ça doit être ça, et ok ça explique tout".
Mais, ce n'est pas cette boucle temporelle qui est le mérite finale de l'énigme Gasai Yuno. On a compris qu'elle était déesse, qu'elle refait le jeu, c'est déjà pas mal. On peut éviter de sourire de l'incohérence qui s'impose quand on songe à la première partie. En tout cas, elle a gagné une première fois le jeu en compagnie de Yukiteru, sauf que lui est allé jusqu'au bout du double suicide qu'ils avaient prévu pour ne pas être séparés et pas elle. Elle veut revivre l'amour avec Yukiteru et on apprécie encore cet autre plan du cercle vicieux, où ils ne pourront jamais vivre à deux, il faudra toujours tuer Yukiteru pour retourner dans le passé, recommencer indéfiniment le jeu avec un nouveau Yukiteru, et en devenant un personnage toujours plus horrible qui dégoûtera toujours plus tout nouveau Yukiteru. Ce truc du cercle vicieux est un charme du côté dégradation lente d'un personnage, d'un système, de plusieurs mondes, j'ai bien aimé. En revanche, on peut sourire, car lors de la première mission on se demande comment Yuno et Yuki ont pu gagner alors qu'elle devait être plus faible et hésitante, qu'elle ne pouvait rien anticiper comme elle l'a fait dans le second jeu, sachant que Yukiteru n'a brillé qu'à la fin et encore et qu'il aurait dû mourir plusieurs fois s'il n'avait jamais reçu d'aides extérieures. Mais l'intérêt de ce cercle vicieux n'est pas la dernière note sur Gasai Yuno, ce qu'il est intéressant encore d'apprendre, c'est que sa mère déprimait et l'enfermait dans une cage pendant les absences de son père, et qu'elle est devenue folle en grande partie à cause de cela, mais aussi que, un peu avant le jeu, comme elle était camarade de classe de Yuki, elle a eu un échange avec lui qui lui a redonné un but dans la vie. C'est cela qui est intéressant également et on a des tableaux qui ne sont pas traités avec profondeur dans l'animé, mais qui ont quand même une certaine profondeur immédiate interpellante, il y a de belles scènes troublantes comme quand les deux Gasai Yuno des premier (celle du deuxième est déjà morte) et troisième mondes sont en vis-à-vis, puis que Yukiteru intervient sous la Lune. Gasai Yuno a tué ses parents et voit une autre Gasai Yuno encore confiante en ses parents et toute cette famille est sauvée à temps, et cela sous les yeux de celle qui a tout perdu. C'est une sacrée alchimie, même si beaucoup d'incohérences ont amené à cette scène-là. Evidemment, on se demande, et ça vaut pour d'autres personnages, comment on a une gentille Gasai d'un côté et une meurtrière folle de l'autre côté. On se dit aussi qui faut-il être pour tuer égoïstement son autre soi-même ? Mais, malgré tout, la fin de l'animé est séduisante avec un propos un peu philosophique fort bien desservi par le tour pris par les événements et le croisement des mondes entre eux et des alter egos entre eux. On a aussi une idée originale : pour ne pas tuer Yukiteru avant d'aller en voir un autre, Yuno l'enferme dans une cage pourvoyeuse d'illusions, cage qu'un sentiment indéfinissable permettra de briser...
Je trouve que l'histoire a de la gueule, que la fin est remarquable et que, malgré les incohérences des personnages, le paradoxe temporel et les rebondissements de l'intrigue sont maîtrisés et ne partent pas vraiment dans du n'importe quoi. Il y a quelque chose de dingue et de réussi, c'est indéniable. Il y a une force qui se dégage du scénario de cet animé.
Parler de philosophie, c'est un peu abusé, mais pas tant que ça, car on a aussi une scène d'interrogation sur l'être et le libre-arbitre dans le face à face entre Deus et un certain Akisu. Le pauvre Akisu doit montrer à Deus qu'il n'est pas un pantin d'observateur contrôlé par Deus même et qui n'a jamais eu de volonté propre. Il y parvient dans une scène qui n'est pas spécialement éblouissante, mais on a quand même du coup ce questionnement trouble sur la réalité de notre libre-arbitre...
Après, on a un autre truc étrange. Le dernier épisode est dramatique : happy end pour tout le monde, sauf pour le héros principal et feue Gasai Yuno du premier monde. Mais ils ont voulu un happy end complet, je ne sais pas ce qu'il en est de la fin du manga, et donc on a, en supplément à la série, un OAV où la Gasai Yuno hérite des souvenirs de la Gasai du premier monde et rejoint Yukiteru avec l'aide de Ninth et de quelques autres. Ce rajout peut sembler un raccord après coup, mais il est assez bien articulé à l'ensemble, au point de se demander si ce n'est pas la fin telle quelle du manga que l'animé avait initialement boudée.


Voilà, l'animé ne mérite pas six étoiles, les incohérences et défauts ont une trop grande part, mais j'ai pas mal plaidé pour ce qui est profondément génial malgré tout, donc je maintiens le six, je ne mettrai pas un coup de cœur avec un 4, je mettrai un 6, note qui chez moi signifie que c'est bon, ça le fait. Je pense que le 6 ne peut pas transcrire l'oscillation de mon opinion entre le sentiment que c'était assez mal conçu au plan de la vraisemblance des personnages et au plan du fond réaliste à donner à la société autour, et le sentiment de quelque chose d'assez puissant dans l'action, l'intrigue, le scénario.
L'animation, le dessin ne sont pas top, la bande-son est très bonne. C'est un animé qui appelle des jugements contrastés entre aspects qu'on traite, mais autant l'avoir vu une fois pour apprécier ce qu'il a de bon à offrir.

davidson
6
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le 19 juil. 2019

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davidson

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