Chacun a ses raisons d’apprécier telle ou telle série. Mais plusieurs d’entre elles reviennent souvent dans les discussions entre amis ou les articles dédiés au genre* : on aime le caractère addictif de la série, sa capacité à nous faire saliver d’un épisode à l’autre, on aime à se sentir proches de personnages que l’on voit évoluer pendant des heures et des heures. Or dans le cas de Misfits, que l’on s’en tienne à ces raisons-là ou qu’on en attende autre chose (tout simplement se divertir, y déceler quelque ambition sociétale ou se laver le cerveau), on est face à un échec.
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