Orange is the new black est une série qui n'invente pas la poudre, ou du moins elle va la réutiliser pour servir à présenter un univers carcéral avec seulement des femmes. En effet le personnage principal Chapman sert une peine de prison d'un an alors que les méfaits qu'elle a commis datent d'il y a plusieurs années, à quelques mois à peine de la péremption de son crime elle est jugée coupable et envoyée au trou.
Cette femme qui était lesbienne et qui a un fiancé va voir que la prison pour femme ce sont des règles telles que "no lesbian sex !", elle va apprendre à connaître certains protagonistes qui ont leur propre sensibilité bien évidemment.
Cette série reste néanmoins beaucoup trop soft par rapport à ce qui a déjà été fait dans les séries traitant du domaine carcéral et on ne peut s'empêcher d'y voir une propagande LGBT, c'est une tonalité très légère et on a l'impression que les détenues n'ont pas grand chose à y faire dans cette prison tellement la série insiste sur leur sympathie.
Bref pour une saison 1 c'est une série assez agréable à regarder mais est loin de constituer une référence dans le domaine.