Relevons tout de suite le positif : énorme prestation de Laura Linney dans le rôle de l'insupportable wasp upper-middle class hypocrite au sourire carnassier.
Notons également l'aspect le plus foireux, pour respecter l'équilibre dans la force : les personnages n'ont aucune PUTAIN DE LOGIQUE NI DE BON SENS. Oui j'écris en majuscule pour exprimer vigoureusement mon mécontentement, j'ai le droit puisque je suis un boomer d'après mon fils. Alors oui, faut trouver des astuces pour créer de la tension et des crises sinon une série comme celle-ci n'a pas lieu d'être, mais bordel, le coup du protagoniste plus ou moins normalement câblé qui devient subitement gogolito ou psychopathe juste pour faire avancer l'intrigue, c'est non ! Prends ça la suspension consentie d'incrédulité.
Sinon je relis mon titre de critique, mea culpa. Il ne faut pas faire d'allusion à Breakin Bad, c'est trop facile et ça énerve les fans d'Ozark. Nous allons donc mentionner les points qui n'ont aucun rapport directs ou indirects avec Breaking Bad.
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(silence gêné).
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ah, ça ne se passe pas au Nouveau-Mexique.
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euh, le héros masculin principal a le charisme d'une huitre trop cuite dans un velouté de poireaux.
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Je continuerai de chercher plus tard (en vrai, je ne sais pas comment terminer cette critique).